Le vice de l'homme (/!\ violence)

Un des premiers poèmes que j'ai écrit je vous laisse le découvrir :


Le vice de l'homme


Tic tac dicte l'aiguille de ce catalyseur fatidique
Qui fera partir tout cela dans un grand fracas.
L'entends-tu la panique ?
Qui dans nos cœurs nous remplis d'effroi ?
Par delà la butte on entend les bruits du fer volants.
Le bruit des cris, des plaies,du sang.

Les vois-tu ces hommes teintés d'argent et de fers, et dans la nuit, brillants.
Par leurs armes, ces lames mortelles, vendant la mort au plus offrants.
Lacérants, déchirants, égorgeant, tuants les passants.
Ces hommes sont tes parents, tes frères et tes sœurs, les êtres les plus cher à ton cœur.
Pourtant ce vice les a tuer avant l'heure.

Mais restent les enfants qui quittent leurs parents.
Demeurant dans ce monde déchu, violent.
Assis entre deux bataillons qui se font front sans raison
Pour des causes qui s'en vont.
Cloués au sol par des corbeaux noirs qui s'élancent vers l'Achéron.
Ils courent pour se cacher
Afin que la faucheuse ne les découvrent.
Oubliant le bonheur d'un paradis perdu à jamais.

Vint alors l'acte final
Celui qui nous sera fatale.
Repensant à la vie d'avant.
Celle que nous avons quittée il y a bien longtemps.
Nous voila élancé par la peur de vivre pour un territoire éphémère,
Pour une cause qui nous semble amère.
Nous pensons alors à notre avenir.
Et laissons le fer volant nous faire partir.

Mais le sang des plaies coule trop doucement, faisant durer ce grand tourment.
L'âme est perdu. Éperdu de la violence et l'effroi,
Qui nous retiennent ici bas.
Ce monde noirâtre, acariâtre s'en vas.
En laissant derrière lui une terre désolée pour longtemps.
La vie voyage alors doucement loin de ce chaos changeant, violent, agaçant.

Plus rien ne sera comme avant quand vous abandonnez la paix.
Ne fuyait pas l'enfer, vous y êtes à portés.
Lucifer, poète qu'il est, porte un autre nom
Qu'il arbore les jours de fêtes dûment célébrés.
Et à ce nom nous blasphémons
Car ce nom c'est la guerre.

Et quelle connerie la guerre.


Voilà voilà ^^ . J'entends vos avis et critiques en tout genre en espérant que cela vous est plu.

Avant toute chose, je ne suis pas un expert en poésie. (J'avoue que ce n'est pas mon format préféré.) Cependant, j'aime beaucoup ce message.

Je n'ai pas grand-chose à dire, mais au moins puis-je aider par quelques corrections mineures. À double-vérifier et contre-confirmer quand-même : l'erreur est humaine et nous sommes tous humains (enfin, je crois).

"Pourtant ce vice les a tuer avant l'heure."
* tué

"Celui qui nous sera fatale."
* fatal (pas certain)

"L'âme est perdu. Éperdu de la violence et l'effroi,"
* perdue
* éperdue (pas certain non-plus)

"Ce monde noirâtre, acariâtre s'en vas."
* va (ce monde -> 3e personne, il me semble)

Passer un texte à la moulinette automarthographique évite la plupart de ces petites erreurs que nous faisons tous.
(Je conseil vivement Grammalecte pour Firefox et Libreoffice.)

Merci beaucoup d'avoir partagé ce beau poème et ce beau message.

Merci beaucoup pour tes compliments et de me conseiller grammalecte je pense que je l'utiliserais désormais quand je partagerais d'autres poèmes. Maintenant que je me relis je me rends compte que j'aurais pu éviter toutes ses fautes. ^^"